RTFlash

Vers une détection précoce du cancer des ovaires

Parmi les trois cancers les plus répandus chez la femme (cancer du sein, des ovaires et de l'utérus), le cancer des ovaires est l'un des plus compliqués à diagnostiquer en grande partie à cause du manque de symptômes spécifiques à cette maladie.

Des chercheurs de l'Institute of Medical Biology de Singapour ont récemment identifié un biomarqueur des cellules souches ovariennes qui permettrait une détection précoce du cancer, et donc un traitement dès les premiers signes de maladie. L'équipe a en effet isolé une molécule connue sous le nom de Lgr5 présente chez un sous-groupe de cellules à la surface de l'épithélium.

En appliquant une approche d'analyse bioinformatique, des scientifiques du Bioinformatics Institute ont été capables d'identifier des gènes dont les mutations pourraient être utilisées pour le pronostic et le développement de traitement personnalisé pour ce type de cancer. Le gène, Checkpoint Kinase 2 (CHEK2), a été identifié comme un marqueur effectif pour le pronostic de survie des patients, ce qui ouvre la voie à un test de détection rapide et fiable de ce cancer. 

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash

A*STAR

Noter cet article :

 

Vous serez certainement intéressé par ces articles :

Recommander cet article :

back-to-top