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Nouvelle étape vers le bioraffinage intégral aux Etats-Unis
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Dans quelques mois, la première usine de bioraffinage intégral ouvrira ses portes dans l'Indiana.
Cette unité de production sera capable de produire du biodiesel à partir de la cellulose contenue dans les tiges et les feuilles de plants de maïs.
Cette usine qui a bénéficié d'une subvention d'État de 4,3 millions de dollars, pourra traiter environ 10 tonnes de biomasse par jour et produire quotidiennement 3000 l de biocarburant.
Jusqu'à présent, la production industrielle de biocarburants à partir de biomasse se heurtait au coût du transport. Mais dans ce projet pilote, la biomasse peut être convertie par de petites unités de production situées à proximité des sources de production végétale.
La transformation de la cellulose en biocarburants s'effectue grâce un catalyseur appelé chlorométhylfurfural, selon un procédé développé par Mark Mascal, professeur de chimie à l'Université de Californie.
Ce procédé permet d'exploiter tout le carbone disponible dans la biomasse, contrairement à la méthode de la fermentation pour fabriquer l'éthanol.
Autre avantage, le chlorométhylfurfural peut être converti en biodiesel ou biocarburants avec des procédés industriels similaires à ceux utilisés dans l'industrie chimique et pétrolière .
Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
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J.T.
5/05/2013Allez vous promener en plein soleil en été dans un champs de maïs (en plus à terre durcies, érodée et écrasée par de gros engins, le sol sans vie dedans)..., et vous verrez que par les sols à nu autour cela ne réduit en rien l'effet de serre..., mais ne fait que de l'augmenter car trop sec et demandant beaucoup trop d'eau puisée en profondeur.
La solution sera de prendre la cellulose des arbres (sinon des algues en mer...) mis en talus bordant des parcelles rizières gardées humides, les terres spongieuses (en plus inondables au printemps pour y noyer insectes et maladies pour diminuer les fous de pesticides en masse...).
"C'est donc de plantes résistant à l'humidité... et non à la sécheresse qu'il nous faut"..., vous dirait mon expérience asiatique et thermique avec un coefficient théorique d'absorption de chaleur de 35 de l'humidité à l'air sec (sans parler des terres sèches à réverbération énorme faisant four solaire à l'air libre...).
http://greenjillaroo.wordpress.com
D'un ex-cimentier connaissant tout de l'évaporation des matières granuleuses sèches et boues humides.
J.T.
5/05/2013Allez vous promener en plein soleil en été dans un champs de maïs (en plus à terre durcies, érodée et écrasée par de gros engins, le sol sans vie dedans)..., et vous verrez que par les sols à nu autour cela ne réduit en rien l'effet de serre..., mais ne fait que de l'augmenter car trop sec et demandant beaucoup trop d'eau puisée en profondeur.
La solution sera de prendre la cellulose des arbres (sinon des algues en mer...) mis en talus bordant des parcelles rizières gardées humides, les terres spongieuses (en plus inondables au printemps pour y noyer insectes et maladies pour diminuer les fous de pesticides en masse...).
"C'est donc de plantes résistant à l'humidité... et non à la sécheresse qu'il nous faut"..., vous dirait mon expérience asiatique et thermique avec un coefficient théorique d'absorption de chaleur de 35 de l'humidité à l'air sec (sans parler des terres sèches à réverbération énorme faisant four solaire à l'air libre...).
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D'un ex-cimentier connaissant tout de l'évaporation des matières granuleuses sèches et boues humides.