Vivant
- Santé, Médecine et Sciences du Vivant
- Biologie & Biochimie
Une mouche au secours des alcooliques
- Tweeter
-
-
0 avis :
Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco ont identifié chez la Drosophile un gène baptisé« un petit coup pas cher » (cheapdate), qui permettrait d'expliquer pourquoi certains individus semble moins sensibles que d'autres aux effets de l' alcool. Bien que cette information ne puisse pas être extrapolée à l' homme et que le phénomène de l'alcoolisme ne soit pas associé à un unique gène, cette découverte identifie l'un des marqueurs biologiques de ce fléau, qui touche 18 millions d'individus aux États-Unis, et renforce l' hypothèse génétique de cette dépendance. En effet, si ce gène ne provoque pas directement la tentation de boire, il pourrait favoriser l'alcoolisme. Les scientifiques espèrent proposer un test génétique pour dépister une prédisposition à cette pathologie.
(San José Mercury News).
Noter cet article :
Vous serez certainement intéressé par ces articles :
Certains traumatismes dans l'enfance pourraient augmenter les risques d'AVC à l'âge adulte
Chaque année, on déplore environ 140 000 nouveaux cas d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) en France et un quart des patients décéderont dans l'année suivant leur AVC. On sait que certaines ...
Découverte d’un nouveau mécanisme immunologique anti-cancéreux
Une équipe de recherche franco-australienne vient de découvrir que les personnes ayant survécu à une infection des voies respiratoires, comme un sepsis, développaient moins de cancers (du poumon, de ...
Une alimentation riche en fruits et légumes réduit sensiblement les risques de cancer de la prostate
Des chercheurs de l’Université de Californie – San Francisco (UCSF) ont montré que manger plus de fruits, de noix et de légumes chaque jour, et réduire les apports d'aliments d’origine animale, est ...
Recommander cet article :
- Nombre de consultations : 95
- Publié dans : Biologie & Biochimie
- Partager :