Vivant
- Santé, Médecine et Sciences du Vivant
- Biologie & Biochimie
Une mouche au secours des alcooliques
- Tweeter
-
-
0 avis :
Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco ont identifié chez la Drosophile un gène baptisé« un petit coup pas cher » (cheapdate), qui permettrait d'expliquer pourquoi certains individus semble moins sensibles que d'autres aux effets de l' alcool. Bien que cette information ne puisse pas être extrapolée à l' homme et que le phénomène de l'alcoolisme ne soit pas associé à un unique gène, cette découverte identifie l'un des marqueurs biologiques de ce fléau, qui touche 18 millions d'individus aux États-Unis, et renforce l' hypothèse génétique de cette dépendance. En effet, si ce gène ne provoque pas directement la tentation de boire, il pourrait favoriser l'alcoolisme. Les scientifiques espèrent proposer un test génétique pour dépister une prédisposition à cette pathologie.
(San José Mercury News).
Noter cet article :
Vous serez certainement intéressé par ces articles :
Un traitement révolutionnaire pour l'asthme et la BPCO
Une étude britannique vient de montrer qu'un nouveau médicament, le benralizumab, offre un nouvel espoir thérapeutique pour les patients souffrant de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ...
Les œstrogènes favoriseraient la consommation excessive d'alcool chez les femmes
Selon une étude de l'Ecole de Médecine Weil Cornell, dirigée par le Docteur Kristen Pleil, la consommation excessive d’alcool chez les femmes pourrait être liée aux œstrogènes, une hormone féminine ...
Découverte d'une cause fondamentale du lupus
Des chercheurs américains viennent de découvrir comment le lupus érythémateux, ou systémique, affecte le système immunitaire. « Les manifestations du lupus peuvent être défigurantes, et même ...
Recommander cet article :
- Nombre de consultations : 95
- Publié dans : Biologie & Biochimie
- Partager :