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Le lien entre pesticides et autisme se confirme
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Une nouvelle étude présentée à l'occasion du colloque annuel de la société américaine de pédiatrie à Baltimore a confirmé l'existence d'un lien possible entre l'exposition des enfants à l'épandage de produits anti-moustiques et un risque accru de développer des troubles autistiques.
Pour arriver à ce constat, les chercheurs ont confronté le nombre d'enfants diagnostiqués comme autistes par région en fonction de l'utilisation des pesticides. Ils ont ainsi comparé ses résultats sur 16 villes aux alentours de New-York. Les scientifiques ont aussi pris en compte d'autres facteurs comme la richesse des foyers et le sexe des enfants. Résultats : les enfants exposés à l'épandage d’anti-moustiques par voie aérienne présentent un risque accru de 25 % d'être diagnostiqués comme autiste par rapport à ceux qui ne vivent pas dans ces zones.
"Nos données suggèrent que le moyen utilisé pour l'épandage impacte la santé", affirme le Docteur Steve Hicks. Cette étude s'inscrit dans une longue liste de travaux déjà menés pour prouver le lien entre l'exposition aux pesticides et l'autisme. Plusieurs éléments montrent que ces toxiques peuvent affecter des neurotransmetteurs même si "les effets exacts sur le développement du cerveau sont toujours à l'étude".
Reste que cette étude ne permet pas de savoir si les enfants diagnostiqués ont été en contact pendant la grossesse ou après leur naissance. Les chercheurs conseillent cependant aux habitants de ces régions de "rester à l'intérieur pendant l'épandage et de recouvrir les jardins et les jeux pour enfants."
Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
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Jack Teste-Sert
27/05/2016Dans le cas de mon neveu, catalogué légèrement autiste et assez indéfinissable..., il semble qu'il y aie plusieurs facteurs qui se combinent... Donc ceux psychiques de la mère et ceux karmique de l'enfant...
Mais comme tout cela sort de la science dite "rationnelle" qui fait l'erreur de séparer l'esprit de la matière, alors que les expériences quantiques nous démontrent que l'observateur est partie prenante, via ses attentes, des résultats de l'expérience..., que dire ?
Qu'on examinerait à tort la conscience et le physique à travers des filtres, des prismes, des sectorisations abusives..., parceque faire plus large et utile nous dérangerait (et qui donc ?). Alors que la télépathie existe (nombreuses études US et d'URSS l'ont prouvé) mais ne s'explique pas sans un lien quantique d'ensemble hors de la 3D, atemporel et plus multidimensionnel ?
Il y aurait jusqu'à 12 dimensions comprenant celles de la 3 D... Que sont les 9 autres ? Là est toute la question !