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Energie : le monde devra investir 4 % du produit mondial brut d’ici à 2035…
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L'Agence Internationale de l'Energie (AIE) a présenté le 4 juin son rapport sur les investissements mondiaux dans l’énergie et les prévisions d'investissements nécessaires dans ce domaine-clé d’ici à 2035.
En 2013, plus de 1 600 milliards de dollars ont été investis pour assurer l’approvisionnement mondial en énergie, dont 1 100 milliards de dollars pour l’ensemble des énergies fossiles (charbon compris) et 250 milliards de dollars dans les énergies renouvelables, soit plus de 4 fois plus qu’en 2000 mais 50 milliards de moins qu’en 2011.
Rapportés à la période 2000-2013, les investissements mondiaux dans l’énergie se sont élevés en moyenne à 1 230 milliards de dollars par an. La production et le transport d’électricité absorbent presque 39 % de ce total (479 milliards par an).
L’AIE estime à plus de 40 000 milliards les investissements nécessaires sur la période 2014-2035 pour satisfaire la demande énergétique mondiale. Sur ce total, près de 59 % des futurs investissements permettront uniquement de maintenir les niveaux actuels de production en modernisant ou en remplaçant les sites actuels de production. Près de 8 000 milliards devraient par ailleurs être investis dans des actions d’efficacité énergétique, essentiellement dans le secteur des transports.
Au total, c'est donc environ 48 000 milliards de dollars que le monde devrait investir d'ici 20 ans pour répondre à la demande énergétique de la planète et l'AIE estime même qu'il faudrait investir 53 000 milliards de dollars d’ici à 2035 pour répondre à cette demande tout en évitant une augmentation de la température mondiale de plus de 2°C d’ici à la fin du siècle. Cette somme peut sembler colossale mais il faut préciser qu'elle représente 20 ans d'investissement, soit 2 650 milliards de dollars par an, ce qui représente moins de 4 % du produit mondial brut annuel actuel.
Selon les derniers chiffres publiés par Ren21, le réseau international sur les énergies renouvelables, ces dernières représentaient, en 2012, environ 16 % de la consommation finale d'énergie dans le monde, soit environ 1,5 gigateps équivalent-pétrole. En suivant la tendance actuelle, les énergies renouvelables pourraient représenter 21 % du mix énergétique mondial en 2030.
Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
International Energy Agency IEA
International Energy Agency IEA
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J.T.
8/06/2014Et la planche à billets qui n'est que jeux d'écriture..., elle est faite pour quoi ? Pour pousser à cels corrections planétaires indispensables, tout en effaçant la dette ?
Non, tiens..., blizzards..., tornades, vortex correctifs "obligés" aux USA, alors que les continents devraient être gardés partout très humides, en agroforesterie retenus entre talus arborés au maximum, ce qui avalerait le CO2 en évitant la montée des océans avec plus de nuages réfléchissant l'effet de serre..., sans érosion ni perte de précieux humus !§!
Et pourquoi pas des enfoncements de côtes en dentelles au Sahara ?Avec des anses style de La rance, systématiquement à usines préfabriquée marémotrices importées en caissons immergés, comme pour le porte en eaux profondes du jour "J".
Le tout entre presqu'îles optimisées et garder humides par la proximité de la mer, donc de 4 km de large, au maximum.
Le "maximum" accompli qu'en temps de guerre, et le reste du temps, tel les gaz / pétrole de schiste pas taxés pour corriger le tir..., comme c'est blizzards !