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Une encre à nanoparticules pour les cellules solaires pérovskites

Des chercheurs australiens ont utilisé une encre à base d'oxyde d'étain comme couche de transport d'électrons dans des cellules optoélectroniques. Ces matériaux pérovskites aux halogénures métalliques sont des candidats prometteurs pour les cellules solaires imprimables en raison de leur efficacité élevée à une température basse. Ils se révèlent également efficaces pour des cellules à grande échelle, obtenues par impression roll-to-roll. Les premiers résultats atteignent un rendement de conversion de puissance de 18 %. L'autre avantage de cette encre est qu'elle convient aussi bien à la fabrication de cellules solaires pérovskites en verre qu'à l'impression sur du plastique.

La taille moyenne de chaque particule à l'intérieur du produit d'encre peut être ajustée pour rester entre 5 et 10 nm. Pour mettre les choses en perspective, considérons que les ongles humains poussent d'un nanomètre par seconde et qu'une feuille de papier a une épaisseur de 100 000 nm. Les cellules solaires en pérovskite sont plus flexibles et nécessitent moins d'énergie pour être fabriquées que leurs équivalents en silicium, et elles remettent déjà en question leur efficacité.

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash

AZO NANO

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