Vivant
Les cellules graisseuses « parlent » au cerveau
- Tweeter
-
-
0 avis :
En traçant les communications nerveuses de hamsters, l'équipe des Dr Bartness et Kay Song a constaté que le cerveau utilise le système nerveux sympathique pour réguler les fonctions du corps et envoyer aux cellules graisseuses des signaux pour leur dire d'arrêter, de continuer ou d'initier le processus de brûlage des graisses, selon les informations reçues des cellules graisseuses.A la façon d'un thermostat, les cellules graisseuses utilisent des connexions nerveuses pour envoyer des informations au cerveau lors de la lipolyse, processus de dégradation des lipides fournissant de l'énergie.
Quand le corps a besoin de glycogène pour « se nourrir », il démarre la lipolyse jusqu'à satiété. La noradrénaline est libérée par les nerfs pour passer les messages entre cerveau et cellules graisseuses. Le Dr Bartness explique que ces fonctions étaient jusque là ignorées de la science. Si cette découverte concerne le processus de brûlage des graisses à court terme, les chercheurs pensent que les connexions nerveuses peuvent avoir une fonction régulatrice dans le long terme. Cette piste pourrait aider à comprendre certaines formes d'obésité et pourquoi certaines personnes brûlent de l'énergie plus facilement que d'autres.
Noter cet article :
Vous serez certainement intéressé par ces articles :
Un nouveau traitement par ultrasons contre la maladie de Parkinson
« Depuis 30 ans, je souffre de tremblements essentiels. Il m’a été incroyablement difficile d’accomplir des tâches aussi simples que de me nourrir, et boire dans un verre n’était tout simplement pas ...
Détecter précocement la maladie de Parkinson en analysant la voix...
En phase précoce, la maladie de Parkinson se traduit souvent par des troubles de la parole. Les patients peuvent se mettre à parler d'une manière plus calme, plus monotone, moins expressive ou plus ...
L'espérance de vie mondiale a augmenté de 6,2 ans depuis 1990
L’espérance de vie à l’échelle mondiale a augmenté de 6,2 ans depuis l’année 1990. En cause, principalement, la réduction du nombre de décès causés par des infections respiratoires, des accidents ...
Recommander cet article :
- Nombre de consultations : 61
- Publié dans : Médecine
- Partager :