Vers une prise en charge personnalisée du cancer de la prostate
Actuellement, 20 à 40 % des patients traités pour un cancer de la prostate ne devraient pas l’être car leur cancer a peu de risque d’évoluer. Ces surtraitements, aux conséquences parfois lourdes (incontinence, impuissance) sont dus aux limites des tests de diagnostics - un dosage élevé de PSA ...
Lire la suite >